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Titre :Pensées
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Sylva, Carmen [Elisabeth de Wied]
Interprète(s) :Sylva, Carmen [Elisabeth de Wied]
Genre :Discours de circonstance
Fichier audio :
Photo(s) :
PhotoPhoto
Support d'enregistrement :Disque
Format :25 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Bucarest, Roumanie
Marque de fabrique, label :Gramophone and Typewriter
Numéro de catalogue :GC-31105
Numéro de matrice :3
Date de l'enregistrement :1903-01-xx
Instruments :Déclamation, diction, monologue
État :Exc++
Vitesse (tours/minute) :73
Matériel employé au transfert :Stanton 150, pointe 2,5ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :31-03-2022
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous.
Texte du contenu :Carmen Sylva - Pensées

Quand nous contemplons notre lyre, nous lui devons toujours l'éternel infini : jamais notre sang ne s'arrête, jamais notre lyre ne se déplace ; elle est au-dessus de nous tout en descendant vers toutes nos peines. Pourquoi est-ce en sanglots que nous chantons le mieux ? Parce que la misère humaine est la force vitale du monde. C'est toujours la douleur qui fera notre âme : ne la déposons pas, elle sera plus lourde encore à relever ; les grandes âmes ne veulent pas batailler avec la peine, elles veulent marcher de front avec tout le cortège de la douleur.

La poésie maternelle, c'est le souffle non seulement de la souffrance, mais de ces béatitudes surhumaines que seul le ciel doit recueillir, hissant ses enfants à créer le vrai grand principe : c'est l'hymne au Seigneur que seul le Seigneur doit comprendre. On n'est bien sacré poète que par ses enfants

Musik ist das Gebet der Leidenden. Was Worte nicht zusammenbringen, das lebt die Musik. Und wenn der Seufzer ausgehaucht, dann ist der Akkord zwischen Leid und Geduld ein feierlicher Einklang. Musik hat immer den Lebenskampf ausgestürmt.

Dès qu'on vit de plus que les autres, on a de la vie que sa propre joyeuseté.

L'effervescence de la jeunesse produit le bon vin, et le bon vin n'est apprécié que des vieillards. L'âge sait ce qui nous fortifie, la jeunesse ne distingue pas.

Le travail est notre miroir que nous ne voudrions pas déplacer.

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